Fanfictions

UNe petite fic,pas sur FMA. Une de ma création .

A Herr Magog, Colnel230, CRM, et les autres.

AMOUR A MA SOEUR

Cette histoires se base sur des faits historiques (Gengis Khan) arrangés à ma sauce pour l'histoire.


Je me souviendrais toujours de ma sœur comme quelqu’un de fier et fort.
Nous sommes nés dans les steppes mongoles.
Nous sommes quatre, Moi, Tsiju, ma première sœur, Myû(*), mon frère, Kichy(**), et enfin, elle, Chaane.
Quand elle est venue au monde, le l’ai trouvée différente, avec ses grands yeux si noirs, et si pétillants. Très vite nous avons tissé des liens particuliers. C’est la seule à avoir assisté à la cérémonie secrète avec mon frère de sang, Jumpa, où nous nous sommes d‘ailleurs donnés ce titre.
Lorsque le Grand Gengis Khan est venu unifier les tribus, elle avait cinq ans, j’en avais neuf. C’est moi qui avais insisté pour qu’elle monte avec moi pour la cérémonie, elle n’a jamais plus arrêté.
Très vite elle a montré des signes d’un caractère fort que nous seuls, ses frères et sœurs, pouvaient dompter, Jumpa aussi le pouvait ; elle était LIBRE.
De temps en temps, un cheval et ma sœur disparaissaient. Un jour, avec Jumpa et Kichy, nous l’avons suivie et ce jour là, nous avons remarqué qu’elle montait à cru. Elle ne faisait qu’un avec la bête. Elle avait alors six ans.

Deux années passèrent, et le Grand Khan décida d’envahir la Chine, j’ai dû apprendre à me battre. Elle avait huit ans, et Chaane est venue me voir pour me demander que je lui apprenne à se battre.
D’abord, j’ai refusé, mais elle a tellement insisté que j’ai fini par accepter. Alors, dès que nous le pouvions, je prenais mon arc, des flèches, de la paille, mon sabre, et nous partions nous entraîner pendant des heures. Elle était très douée. Très vite, elle maîtrisa la technique de tir à l’arc qui consistait à décocher la flèche quand les sabots du cheval n’ont plus aucun contact avec le sol.
Puis, je lui ai appris à manier le sabre ; là encore, elle était excellente. Pendant deux ans je l’ai entraînée aux techniques de combats, même aux arts martiaux !

A 10 ans, elle décida de voir le grand Khan : elle voulait apprendre à se battre avec les autres.
Elle entra dans la tente.
Grand Khan, lui dit-elle, j’aimerais pouvoir vous parler sans la présence de toutes ces personnes, mis à part mes frères.
Elle me désigna, avec Kichy et Jumpa.
Et pourquoi ?
Je l’ai dit, je voudrais vous parler.
Le Grand Khan était étonné par l’audace de cette jeune fille, mais congédia tout de même les personnes présentes dans la tente.
Alors ?
J’aimerais entrer dans votre armée ! dit-elle posément
Non. Une femme ne sait pas se battre.
Sauf votre respect, nous lui avons appris, intervint Jumpa
Comment ?! Bon, passons, c’est non.
Et pourquoi ? demanda-t-elle
Le grand Khan se leva et la gifla, la gifle claqua, mais elle ne pleura pas. Je ne l’avais jamais vu pleurer de toutes façons.
Bon, tu vas me montrer ce que tu sais faire, même mes fils pleure quand je les corrige.
Je fus enchanté que ma sœur ait réussi d’obtenir quelque chose. Au moment de sortir, je lui dis qu’elle pouvait prendre mon cheval, mais elle me répondit que le Khan décidera.
Bien, monte ce cheval, là-bas, ordonna-t-il, en désignant les chevaux non dressés.
Cela ne parut pas gêner ma sœur et elle prit un cheval nerveux, par provocation.
Tiens, lui dis-je en lui tendant mon arc et un carquois de flèches.
Elle me fit un grand sourire et me dit :
T’inquiète pas, même si c’est un cheval nerveux, pas débourré, et que je le monte à cru, ça se passera bien.
Chaanee alla se placer devant la cible avec une aisance extrême sur le jeune cheval, banda l’arc, et lança sa monture au galop. J’observai le Grand Khan ; il semblait vraiment étonné par ma sœur. Elle décocha trois séries de deux flèches, et chaque fois que le cheval ne touchait plus le sol.
Alors ?
Impressionnant, mais il reste encore à voir ce que tu sais faire au sabre et aux arts martiaux.
Une petite troupe de jeunes s’était formée autour de nous. Le Khan désigna le plus fort d’entre eux et l’opposa à Chaanee. Elle n’avait pas de sabre, et je devais me débrouiller pour lui lancer le mien. Pour le moment, elle évitait avec souplesse les attaques de l’autre. Personne, mis à part moi, comprit qu’elle cherchait à fatiguer son adversaire. Au moment où il commença à vouloir s’arrêter pour souffler un peu, je lui envoyai mon sabre qu’elle rattrapa au vol. Elle attendit patiemment qu’il eut fini de reprendre son souffle pour cette fois l’attaquer. Ils mirent fin au combat en tombant à terre.
Bon, je vais réfléchir à ta demande, fit le Khan, et je vais en parler à mes généraux.
Elle le regarda et hocha la tête.
Comment tu as fait pour le cheval ? lui demandai-je quand tout le monde fut parti.
J’ai mis le cheval de Jumpa parmi les autres.
…
Bon et alors, je me serais retrouvée à terre le temps de le dire ! Et puis, qu’est ce que ça change ? J’ai fait ce qu’il a dit.
T’es vraiment pas comme les autres ! plaisantai-je. Je crois qu’on t’a bercée trop près du mur !
Ca va !
CHAANEE ! CHAANEE !, cria Kichy, t’as réussi ! T’as réussi !
Elle me colla un bise sur la joue et se jeta dans les bras de Kichy.

Trois années passèrent, elle avait donc treize ans, et moi dix-sept. Le Grand Khan mourut cette année-là, et les tribus qui avaient été unifiées se séparèrent(***).
Nous sommes restés avec la tribu du fils aîné du Grand Khan . La vie reprit sont cours, comme avant. Ce fut aussi l'année du mariage de ma première sœur, Myû. Elle avait seize ans et pouvait épouser l'homme qu'elle aimait. Ce jour là elle était magnifique.
Les attaques d'autres tribus devinrent fréquentes.
Un jour, il y eu une attaque particulièrement sanglante. Ils avaient attendus que la plupart des hommes soient partis chasser pour lancer l'attaque. Nous perdîmes la bataille. Quand les hommes rentrèrent, ils trouvèrent toutes les femmes un couteau sous la gorge, et nous, les soldats, attachés les mains dans le dos. Par chance, ma sœur était avec nous. Mais elle fut rapidement découverte. Tandis qu'ils la détachaient, elle fit glisser un petit couteau de la manche de sa robe, et tua sans scrupule les deux gardes qui la retenaient. Avec un bonne précision, elle lança le couteau et nous détacha. Le chef du clan ennemi parut apprécier ma sœur, car ce fut elle qu'il choisit comme trophée(****) . Jumpa et moi avons essayé vainement de la défendre, mais elle s'en chargea elle même. Elle a donné un grand coup de pied dans la mâchoire du type qui devait l'emmenait. On entendit un craquement sinistre et du sang se mit à couler de sa bouche. Le chef ennemi nous avait vu vouloir défendre Chaanee et il nous fit assister à son supplice.
Le soir venu, elle fut emmenée dans une tente et déshabillée. Tranquillement, l'ennemi entra dans la tente, et Jumpa et moi fûmes installés en face. La vision de cet homme en train de souiller les corps et âme de ma sœur m'était insupportable. Elle ne pleurait pas.
A un moment, ma sœur tendit le bras vers son tas de vêtements et sortit un couteau. L'autre, absorbé par sa" tâche" ( dans les deux sens), ne remarqua rien, et elle lui planta le couteau dans la gorge. Elle se dégagea du corps, enfila ses vêtement et vint nous détacher.
Chaane, dis-je en la prenant dans mes bras.
Pour la première fois de sa vie, elle pleura. Elle était secouée de sanglots. Je fis tous mon possible pour la calmer. Ensuite, elle nous demanda de sortir le corps du mort. Tous le monde nous regardait, une fois arrivés au centre, elle s'approcha du corps encore chaud, récupéra le couteau resté dans la gorge, elle le planta dans le cœur du défunt.

Aujourd'hui, Chaane fête ses dix-sept ans et son mariage avec Jumpa. Je suis parrain des deux enfants de Myû et de celui de Kichy, qui a dix-huit ans. Chaane n'a pas oublié la nuit de son viol. Chaque année, le jour de la troisième nuit sans lune de l'hiver, elle va avec son cheval à l'endroit où les hommes fidèles à l'ennemi l'on enterré et y met le feu, déposant sur le sols des carcasses.
Je suis père de trois enfant, une fille et deux garçons. Elle est marraine de mes enfants.


* Prononcer Myou
** Prononcer Kitchi
*** Je crois que les tributs sont en fait restées unies.
**** Quand une attaque était réussie, le chef du clan ennemi choisissait une femme et …
[/quote]

Si vous voulez voir Gengis Khan

hummmmmmmm.............

bon alors j'interviens...

un étranger revetu d'une lourde cape arriva dan la ville....

[/quote]donnez-moi une livre de pain s'il-vous plait!"

-ce sera 2 pieces d'or!

-quoi? reprenez votre pain avant que je ne m'étrangle!" [/i]


part à nouveau se promener dans les ruelles... entendant de part et d'autres des nouvelles rumeurs d'une éventuelle guerre

Une autre fic

Auteur : Sedna






Titre : Déchéances






Despcription : Extrait d’un journal sur une chanson de P.O.D, Youth of the nation. Quatre personnages, une même descente aux enfers. Quatre nouvelles, un texte. Quatre histoires différentes...une déchéance.






Genre : One shot, sonf-fic






Disclamer : Les personnages sont tous de moi. L’idée vient de moi et de la chanson que vous pourrez rencontrer dans le texte.










*


* *


*










Julia regarda le plafond. Hier elle avait été transférée en Suisse. Elle était atteinte d'une tumeur au cerveau et, à 18 ans, elle avait choisi de mourir. C’était son dernier jour.






Last day of the rest of my life


Le dernier jour du reste de ma vie






Elle songeait à toutes ses amies qui la regretteraient,






I wish I would've known


J'espère que j'aurais connu autre chose






sa mère, qu’elle avait quittée sur une dispute et qui était morte dans un accident de voiture lorsqu’elle avait quinze ans,






Cause I didn't kiss my mama goodbye


Parce que je n'ai pas embrassé ma maman lorsqu'elle est partie


I didn't tell her that I loved her and how much I care


Je ne lui ai pas dit à quel point je l'aimais et à quel point elle comptait pour moi






son père qui avait tenté de la rassurer au début de sa maladie et qu’elle avait réappris à


connaître.






Or thank my pops for all the talks


Je n'ai pas non plus remercié mon père pour toutes ses paroles


And all the wisdom he shared


Et toute la sagesse qu'il a partagé avec moi










*


* *


*






Marc entra à demi conscient aux urgences sur un brancard. Il venait de se disputer avec son dealer.


Unaware, I just did what I always do


Inconscient, je faisais ce que j'avais toujours fait






Comme toujours, avant d’aller au lycée, il avait rendez-vous avec lui.






Everyday, the same routine


Tous les jours, la même routine


Before I skate off to school


Avant que cela n'arrive






Oui, mais ... aujourd’hui, le dealer avait encore augmenté les prix. Marc réagit, et le dealer sortit son flingue.






But who knew that this day wasn't like the rest


Mais qui savait que ce jour là ne serait pas comme les autres ?










Marc avait un examen ce matin-là, et il le séchait, comme ses cours depuis un petit moment.






Instead of taking a test


Au lieu de faire mon test






Il essaya de marchander avec son dealer, l’autre refusa, alors marc l’insulta. Pan !






I took two to the chest


Je m'en suis pris deux dans la poitrine






Il auraut dû prévoir






Call me blind, but I didn't see it coming


Tu dis que je suis aveugle, mais je ne l'ai pas vu venir






Le lycée n’étant pas très loin, il y alla. Quand on le vit ainsi, ce fut la panique






Everybody was running


Tous le monde courait, s'agitait






Mais lui, revoyait sans cesse son dealer lui tirer dessus, ce mec qui était dans sa classe ...






But I couldn't hear nothing


Mais moi, je n'entendais rien


Except gun blasts, it happened so fast


A part la détonation du flingue tout est arrivé si vite






Marc pensait bien le connaître, mais il s’était fait de fausses illusions. Un jour, ce type était arrivé dans sa classe, il avait changé de lycée pour des raisons inconnues






I don't really know this kid


Je ne connais pas vraiment ce gamin


Even though I sit by him in class


Même s'il est avec moi en classe






Le type était tombé dans la drogue à cause d’un père absent, et d’une mère alcoolique, un manque d’amour tout bêtement


Maybe this kid was reaching out for love


Peut-être que ce gars demandait juste un peu d'amour






Marc était allé vers lui, il avait pensé lier des liens d’amitié, mais à quoi avait pensé le type en lui tirant dessus






Or maybe for a moment


Ou peut-être a-t-il oublié, en l'espace d'un instant qui il était






Marc, en sombrant dans un profond coma se mit à se demander si le type n’était pas surveillé. Il se souvenait de la phrase qu’il lui avait dite avant qu’il ne tire : « Tu te réfugies là-dedans dans l’espoir de combler un manque d’amour ... »






He forgot who he was


Ou peut-être voulait-il seulement que quelqu'un


Or maybe this kid just wanted to be hugged


Le serre dans ses bras






« Marc Dupont, un jeune lycéen de seize ans est mort cet après-midi. Il avait reçu deux balles dans la poitrine par un de ses camarades de classe, qui était son dealer. Ce dernier n’a pas cherché ni à nier, ni à fuir. Il a simplement dit « Voyez à quoi ressemble la jeunesse de ce pays ». Sur place, notre envoyé spécial .....






Whatever it was


En tout cas


I know it's because


Je sais ce que c'est car


We are, We are, the youth of the nation


Nous sommes, nous sommes, la jeunesse de ce pays














*


* *


*










« Susan, quel âge aviez-vous quand vous êtes tombés là-dedans ? »






Little Suzy, she was only twelve


Petite Suzy, elle n'avait que 12 ans






« Je crois que votre père dirigeait une banque, non ? Il vous avez envoyée dans une grande école ? Vous aviez tout pour vous. Je ne comprends pas »






She was given the world


On lui avait donné le monde


With every chance to excel


Avec toutes les chances de réussir






« Vous avez d’abord commencé à fumer, puis à sécher les cours, puis à traêner avec les filles et les garçons d’un quartier...disons qui ne correspondait pas à votre milieu »






Hang with the boys and hear the stories they tell


Elle traîne avec les garçons et écoute les histoires qu'ils racontent






« Pourquoi avez-vous fait tout cela ? Pour vous prouvez quelque chose ? Ou prouver quelque chose à votre père, parce qu’il était souvent absent ? En tout cas, ce n’était pas dans votre intêrét






She might act kind of proud


Elle agit peut-être par fierté


But no respect for herself


Mais en tout cas pas par respect pour elle-même










« Depuis quand et où, Susane ? Avec qui ? Combien de personnes ?






She finds love in all the wrong places


Elle trouve l'amour dans des endroits sales


The same situations


Toujours la même situation


Just different faces


Seuls les têtes changent






« Vous avez arrêté dès que votre père est mort ? Pourquoi ? En faisantt tout cela : en vous droguant, en vous prostituant vous espériez un peu de considération de lui ?






Changed up her pace since her daddy left her


Son apparence a changé, depuis que son père l'a laissée


Too bad he never told her


Ce n'était pas un homme bon, il ne lui a jamais dit


She deserved much better


Qu'elle valait mieux que ça






Extrait de l’interrogatoire de Susane A. par son avocat






*


* *


*










Le jeune homme répondit au prof avec la même désinvolture habituelle, faisant rire toute la classe. Il passait pour le gars cool de la classe, celui qui se fout de tout.






Johnny boy always played the fool


Johnny, lui, a toujours fait l'imbécile


He broke all the rules


Il ne respectait aucune règle


So you would think he was cool


Alors, vous penserez peut-être que c'était un gars cool






S’ils avaient su ce qu’il pensait de lui-même. Il aurait voulu changer, de toutes ses forces






He was never really one of the guys


Il n'a jamais été un de ces gars qu'il aurait voulu être


No matter how hard he tried


Même s'il essayait, il n'y arrivait pas






« Qu’est-ce que la mort ? Que peut-elle m’apporter ? »






Often thought of suicide


l pensait souvent au suicide






Même s’il est toujours entouré de personnes, il n’a pas vraiment d’ami, il ne peut pas se confier. Un jour, il a fait un test, il s’est éclipsé discrètement du groupe, personne n’a remarqué son absence






It's kind of hard when you ain't got no friends


Il est dur pour quelqu'un de ne pas avoir d'amis






Un jour, il est allé dans le bureau de son père. Celui-çi est policier. Il a pris sonarme de service et a tiré . « Peut-être remarquerez-vous mon absence ainsi » a-t-il laissé comme mot d’adieu






He put his life to an end


Il a mis fin à sa vie


They might remember him then


Se disant que là, ils se souviendraient peut-être de lui






« Merdre ... qu’est-ce que j’ai fait ... » a-t-il murumuré dans l’ambulance du SAMU






You cross the line and there's no turning back


Quand c'est fait, c'est fait, on ne peut revenir en arrière


Told the world how he felt


Il a dit au gens ce qu'il ressentait


With the sound of a gat


Avec le son d'un flingue






« Voyez à quoi ressemble la jeunesse de ce pays »






Whatever it was


En tout cas


I know it's because


Je sais ce que c'est car


We are, We are, the youth of the nation


Nous sommes, nous sommes, la jeunesse de ce pays










*


* *


*










Extrait d’une chanson d’un groupe anglais-P.O.D, qui illustre bien notre article


Who's to blame for the lives that tragedies claim


Qui est à blâmer pour les vies que ces tragédies emportent ?


No matter what you say


Je me fous de ce que vous dîtes


It don't take away the pain


Je ne cherche pas à éloigner la douleur


That I feel inside, I'm tired of all the lies


Ce que je ressens à l'intérieur, c'est une fatigue des mensonges


Don't nobody know why


Personne ne sait pourquoi


It's the blind leading the blind


C'est le flou qui entraîne le flou


I guess that's the way the story goes


Je suppose que c'est comme ça que ça doit se passer


Will it ever make sense


Cela aura-t-il jamais un sens ?


Somebody's got to know


Il faut que quelqu'un sache


There's got to be more to life than this


La vie doit avoir plus de valeur que cela


There's got to be more to everything


Il faut que tout ait plus de valeur ici-bas


I thought exists


Je pensais que ça existait










« Voyez à quoi ressemble la jeunesse de ce pays »






Whatever it was


En tout cas


I know it's because


Je sais ce que c'est car


We are, We are, the youth of the nation


Nous sommes, nous sommes, la jeunesse de ce pays


















Les News, le 17/02/2008






ARTCLE : S .U






Je vous l’accorde, ce n'est pas joyeux du tout ! Mais le nombre de suicides parmi la jeunesse, le nombre de faits divers comme ceux-ci augmente chaque jour En lisant la traduction des paroles de Youth of the Nation, j’ai eu l’idée d’écrire cela. Voilà.

Sedna envoi moi ton msn jai kelke chsoe a te demandé stp ^^

J'ai pas MSN

MdR

Hey !! Laissez des commentaires sur les fics !!!

C'est une réponse à un concours

Isae Allis Barck contempla la villa : rien à voir avec la belle demeure à ses débuts.
« Complètement modernisée ... » songea-t-elle.
Elle remonta son sac sur l’épaule et longea l’allée fleurie. Devant la porte, elle lut la plaque : « La Villa Départementale Marguerite Yourcenar vous accueille pour vous permettre d’achever une œuvre en cours ».
Elle appuya sur le bouton de l’interphone :
« Oui, qui est-ce ? demanda une voix féminine
Bonjour, je suis Isae A. Barck. Je vous ai contactée il y a deux jours.
Isae A. Barck ? L’écrivain ?
Oui, oui, s’impatienta la visiteuse.
Son interlocutrice raccrocha vivement le combiné, la porte s’ouvrit et une grande femme blonde, maigre, trop maquillée apparut.
Bonjour, je suis Malagie S. Yourcenar, l’héritière de Marguerite et propriétaire des lieux ! s’écria-t-elle.
Enchantée.
Entrez, poursuivit Malagie en s’effaçant du seuil.
Isae donna son sac au robot domestique et contempla l’intérieur. Tout avait été rénové, aussi tout était ultramoderne.
Suivez-moi, je vais vous faire visiter ».
Quelques instants plus tard, Isae était dans sa chambre. En installant ses affaires, elle découvrit un CD-Rom gravé. Elle l’inséra dans son ordinateur portable et un texte s'afficha, une histoire vraisemblablement :

'' Année 1769 du sixième millénaire.
Après les prières quotidiennes, certaines personnalités de le Villa sont venues au couvent. Elles désiraient engager quelqu’un comme domestique. Le hasard a voulu que ça tombe sur moi. Quitter Saint Jans-Cappel et le couvent m’a fait bizarre : je n’avais jamais mis les pieds dehors.
Avant de rentrer, nous avons fait un détour par le port de La Bassée.
La montée des eaux a tout englouti ; il ne reste rien du Nord de la France et des villes comme Lille, Dunkerque ou encore Roubaix. Le groupe de nobles s’est séparé. Les deux hommes qui le composaient en partie s’en sont allés de leur côté et je me suis retrouvée seule avec deux femmes. L’une d’elles paraissait d’un âge avancé, et l’autre, plus jeune, devait être l’héritière. Cette dernière s’adressa à moi :
« Comment t’appelles-tu ?
Olivia.
Ton âge ?
Seize ans dans treize jours.
Bien. Lucie, dit-elle en désignant l’autre femme, est notre gouvernante. Elle te choisira ta tenue de travail. Nous sommes ici pour cela. Ensuite, avec l’argent qu’il restera, tu pourras t’acheter ce que tu voudras».

Lucie m’emmena dans les faubourgs de la ville. Je fis l’acquisition d’une nouvelle jupe, d’un chemisier ainsi que d’un tablier blanc et d’une coiffe. Puis j’achetai un coffre de bois pour ranger mes affaires, et un autre, plus petit, pour ranger les choses qui m’étaient précieuses ou l'argent de mon salaire.
Nous prîmes une calèche pour le retour. Lucie gardait le silence, et je l’imitai, tandis que le couple de nobles papotait joyeusement et bruyamment. Arrivés devant le parc, la calèche s’arrêta et nous remontâmes l’allée. La gouvernante me mena directement aux cuisines : il n’était pas loin de midi.

« Tu aideras au service de la table matin, midi et soir, m’informa-t-elle, et aussi lorsque Monsieur ou Madame reçoivent. Tu feras les lits des jeunes maîtres et le ménage dans le bureau de Madame tous les jours ».
Dans la nuit, je me relevai et allai dans le salon. De la baie vitrée, je voyais Meteren, Saint Jans-Cappel, Bailleul et, au loin, la Bassée. Lucie m’avait expliqué leur histoire :

« Meteren était autrefois un bourg plutôt grand. Mais, avec la montée de la mer, il n’en reste pas grand chose. Là-bas, habitent tous les ouvriers qui travaillent dans les champs Yourcenar. On peut ainsi dire que le village leur appartient.
La Bassée est le port qui fait marcher l’économie de la Villa. Monsieur possède de nombreux bateaux commerciaux et un certain nombre de boutiques où sont vendues les marchandises.
Saint Jans-Cappel, tu connais son histoire. C’était aussi un grand village mais la construction de couvent a fait fuir la moitié des habitants et les Yourcenar ont racheté les rares magasins qui subsistaient.
Enfin Bailleul ; c’est ce qu’on pourrait appeler une ville « industrielle ». C’est dans cette ville miraculeusement épargnée par la Manche que la laine est lavée et tissée ; que la viande est coupée, salée et acheminée vers le port ; que l’argile est extraite et la brique façonnée ; que les arbres sont sciés et transformés en poutres, planches ou lattes. Et tout cela appartient évidemment à la famille Yourcenar. »

En pensant à toutes ces richesses, je suis restée pensive. ''

Le texte s’interrompait brutalement et finissait sur cette phrase :

« Il est donné à tout le monde d'aller à Meteren ».

Petites confidences intimes


...Coment commencer ? Hum...par le commencement. Hier, je me suis pris les -mes- qutres vérités par une fille que je considère comme une AMIE. Appelons-la « S »
S est dans ma classe depuis la sixième (je suis en quatrième), je ne lui avait jamais adressé la parole, car elle, elle faisait partie du Groupe. Tout d’abord, qu’est ce que le Groupe: C’est un groupe de filles et garçons de ma classe où tu peux rentrer si tu es comme-çi, comme-ça (et si tu ne traine pas un sale réputation, bref tu vas à la préfécture demander pour rentrer dedant...)
Donc, je ne parlais pas à S parce qu’elle faisait parti du Groupe, même pas « bonjour », « salut, à demain », où même la bise. Et, Oh !! Miracle ! Cette année, nous nous parlons...Pourquoi ? Peut-être parce que la classe a été écaltée, ou parce qu’on s’est déouvert une passion commune pour les mangas et le Japon ( passion que j’entretiens depuis le CM1). Il y a eut des hauts et des bas dans notre amitiée, quelques disputes, mais sinon, tout allé bien. J’ai d’autres amies, appelons-les J et Mc. Je l’ai ai complètement laissées tombées pour S.
Que de fou-rires, de délires et de complicité entre S et moi. Et puis queqlue chose qu’elle a fait a éclaté au grand jour, tout le collège est au courant, même certains surveillants, et je suis sûre que certain professeurs aussi. Et moi, j’étais là, avec elle, pendant tout ce temps.
Je lui avait fait découvrir un chat sympa. Et hier j’ysuis allée et S y était aussi. Elle parlait en conversation libre, et pas en message privé. J’ai survolé la conversation, et j’ai vu qu’elle parlait d’un garçon qui , je crois la harcelait au téléphone. J’ai tout de suite pensé à un gars avec qui elle avait eut pas mal de problèmes, appelons-le C. J’ai aimé C jusqu’a ce qu’il l’apprenne et qu’il me dise qu’il aime quelqu’un d’autre, mais passons, ce n’est pas le sujet. J’ai demandé à S ce qui se passait, elle n’a pas répondu. Je lui ai alors demandé en message privé, elle ne m’a répondu qu’un vague « Oh, moi ? Rien, il fait beau hein ? » En temps qu’amie, j’ai insité, et là ça a dégénéré. Le dernier message qu’elle m’a envoyé c’est qu’en gros je me fais des illusions. J’ai agis en temps qu’AMIE et je suis pris dans la tête que je n’éatias qu’un joué pour elle. C’est d’abord avec tristesse que j’écris ces mots, mais maintenant c’est de la colère .

Comment peut-on jouer avec les gens aisni ? Comment peut-on être aussi fausse ? Comment peut-on être aussi méprisant envers autri ? Ce sont des questions auquelles je n’aurai jamais de réponses... Comment peut-elle encore regarder les gens en face, dans les eux, alors qu’elle joue avec eux et que par derrière, elle leur plante un couteau dans le dos ? Ce sont des mystères de l’humanité qui ne seront jamais éclairés...

Maintenant, quand je la vois, je me rend compte à quel point c’est un fille vulgaire dans sa façon d’aitre et malpolie. Cette fille -oui, TOI, S- a vraiment un problème qu’elle seule peut résoudre. Je la vois, je ne vois plus rien...rien qu’une fille qui a besoin de se faire remarquer pour être et exister. Cette fille est capable de faire des crasses incoroyable, des trucs dont vous pouvez pas avoir idée.

Maintenant S, si tu lis ces lignes, sache que je te mépris à un point vertigineux. En fait, si tes anciennes AMIES te toisent et te méprisent, ça vient peut-être de toi.

Aujourd’hui, j’ai fais mes excuses à J et Mc. Elles les ont acceptées....

Auteur : Sedna

Titre : T’es beau

Despcription : Coucou !! Voilà une petite song fic, en passant. Une jeune fille hurle son désespoir à la perte d’un être cher. Chanson de Pauline Croze, t’es beau.

Genre : One shot, action .

Disclamer : Tout est à Masashi Kisimoto


Sur ce, bonne lecture ^^ 8-D




« Que lui trouvais-tu ma chère fille ? Il était faible ! C’était un démon ! Il a détruit la moitié de notre village !
-Je l’aime parce qu’il est courageux de défendre ses idéaux avec tant de volonté. Il a toujours été seul, il a toujours voulu être heureux. On lui a retiré ce droit ! »


T'es beau,
T'es beau parce que t'es courageux,
De regarder dans le fond des yeux,
Celui qui te défie d'être heureux.

« Je suis sûre qu’au fond de lui, il hurlait sa tristesse. Il a toujours fait face à tous ses problèmes, il se battait pour défendre ses idées »

T'es beau,
T'es beau comme un cri silencieux,
Vaillant comme un métal précieux,
Qui se bat pour guérir de ses bleus.

« Quand je le voyais, je me forçais à m’améliorer, comme si je lui devais quelque chose. Maintenant, je me force à être heureuse, quand je pense à lui »

C'est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon coeur,
Qui forcent ma joie,
Quand je pense a toi,
A présent.

« Peut-être est-ce mieux ainsi ? Mais, je vous en prie, laissez mes larmes couler en toute liberté. Hier, on me disait que je m’enfonçais dans un mutisme trop grand ; aujourd’hui je parle, car cette peine, ce sentiment si fort, je ne peux plus le garder pour moi

J'ai beau,
J'ai beau me dire qu'au fond c'est mieux,
Même si c'est encore douloureux,
Je n'ai pas de recoin silencieux.

« Le ciel, en ce jour néfaste et noir, noir comme la haine, la colère qui monte peu à peu en moi. Et ces larmes qui coulent sont plus fortes qu’un simple mot »

C'est beau,
C'est beau parce que c'est orageux,
Avec ce temps je connais peu,
Les mots qui traînent au coin de mes yeux.

«« Quand je le voyais, je me forçais à m’améliorer, comme si je lui devais quelque chose. Maintenant, je me force à être heureuse, quand je pense à lui »

C'est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon coeur,
Qui forcent ma joie
Quand je pense à toi,

« Maintenant, la représentation de ta vie est achevée, le rideau est tiré, tu pars sans arme, sans haine. Mais moi ? Moi, j’ai peur d’oublier ce sentiment que j’éprouve, aujourd’hui plus fort que jamais, je me refuse d’accepter que je ne reverrai jamais ta tête blonde, tes yeux bleus, ton sourire hilare; que je ne t’entendrai plus crier, rire, parler, pleurer. J’ai peur de devoir éprouver à nouveau ce sentiment pour quelqu’un d’autres. Parfois, j’ai l’impression de t’entendre à nouveau, je me méfie de tous ceux qui m’entourent »

Toi qui sors de scène,
Sans armes et sans haine,
J'ai peur d'oublier,
J'ai peur d'accepter,
J'ai peur des vivants,
A présent.

« Moi, Hinata Hyûga, en ce jour, décide de devenir quelqu’un d’assez confiant, d’assez puissant, et d’assez courageux pour te venger, toi Naruto Uzumaki, tué par ton meilleur ami. Jusqu’au bout, tu as cru en lui, c’est pour cela que tu es beau »

T'es beau...

Moi les fan fic c pas mon truc jen ai lu que très peu la plupart était des fic yaoi tout moignangnante ( mignone > oui jai des drole de mot je sais ) hi sinon les autres était sur des truc qui me passionne ( arme et GTO yeah bref)

donc je poste juste pr dire que.... tu as de super gouts musicaux Sedna *___* POD ( moi fan de POD ? oui ) XD

ps > dsl pr le HS ^^"